Promotion 2018-19
ASSISTANTE CHEF DE PRODUIT À LA MARTINIQUAISE
Pouvez-vous nous présenter rapidement votre parcours avant le CIVS ? Aviez-vous déjà un projet
professionnel défini ?
Après 5 ans d’école de commerce à Paris, spécialisée en marketing, j’ai eu des expériences professionnelles en bar à vin et en agence de marketing des V&S. Je souhaitais aller plus loin mais il me manquait la connaissance produit et acteurs de la filière donc je me suis orientée vers le MS CIVS.
Vous avez effectué le CIVS en 2016-2017 , pouvez-vous nous parler de cette expérience ? En quoi le CIVS vous a aidé à définir votre projet pro et que vous a-t-il apporté pour le mener à bien ?
Pendant le CIVS j’ai beaucoup échangé avec Frédéric, des intervenants passionnés, mais aussi avec mes collègues sur les projets de chacun, ce qui était très enrichissant. Tout au long de l’année on se construit un réseau professionnel mais aussi d’entraide et de conseil qui est non négligeable et on acquiert des connaissances sur la filière, ses acteurs et ses tendances qui nous permettent d’être pris au sérieux dans le monde des V&S. Le CIVS m’a également permis de m’orienter sur ce qui me correspondait le plus :le marketing des spiritueux.
Pouvez-vous nous parler de votre expérience à la suite du CIVS ? Quel poste occupez-vous actuellement et quels ont été les étapes clés de votre réussite ?
J’ai effectué un stage en tant qu’Assistante Chef de Produit à La Martiniquaise (rhum, vodka, gin), à la suite duquel j’ai été embauché, pour travailler plus particulièrement sur le marché des Rhums.
Quels conseil donneriez vous aux futurs diplômes du CIVS ?
Ne pas s’inquiéter si nos projets changent au cours de l’année. Le CIVS permet une remise en question du parcours pro et nous aide à préciser nos projets et nos objectifs.
Utiliser au maximum tous les outils mis à disposition par le CIVS pour en apprendre le plus possible sur la filière, les marchés, les acteurs, le produit, lire la presse spécialisée à laquelle on a accès grâce au CIVS.
Construire son réseau (pro et anciens diplômés) et l’utiliser à la sortie du CIVS car c’est un réel atout comparé aux autres professionnels qui seront face à nous dans le monde du travail.
Pour finir, pourriez vous nous donner un moment marquant de votre expérience au CIVS ? (Anecdote, intervenant …?)
J’ai été très marquée par la visite chez Martell lors du voyage Bordeaux / Cognac. C’était une expérience très forte, une réelle immersion dans la richesse du milieu avec un accueil très chaleureux, des échanges professionnels et humains enrichissants.
Promotion 2016-2017
Responsable Commercial export Domaine Roux St‑Aubin
Pouvez-vous nous présenter rapidement votre parcours avant le CIVS ? Aviez-vous déjà un projet professionnel défini ?
J’ai commencé par une prépa école de commerce. J’ai décidé d’ orienter ma carrière professionnelle dans le monde du vin suite à une expérience chez un importateur de vin à Hong Kong lors de mon année de césure. J’ai également travaillé pour un importateur à Pékin et pour un domaine en Provence avant d’intégrer le MS CIVS.
Vous avez effectué le CIVS en 2016-2017 , pouvez-vous nous parler de cette expérience ? En quoi le CIVS vous a aidé à définir votre projet pro et que vous a-t-il apporté pour le mener à bien ?
Frédéric apporte un coté “professionnel” à la formation qui fait l’unanimité au sein du MSCIVS. Le Mastère n’est pas une fin mais un moyen et nous aide à nous poser les bonnes questions. Il permet aussi d’acquérir une vision globale et profonde du secteur, et de se construire un réseau pour la sortie du Mastère. Tout ça est traduit par les rencontres avec les intervenants et les voyages.
Pouvez-vous nous parler de votre expérience à la suite du CIVS ? Quel poste occupez-vous actuellement et quels ont été les étapes clés de votre réussite ?
A la fin du MS CIVS je suis retourné à Hong Kong pendant 2 ans pour développer la partie commerciale B2B d’un importateur, job que j’ai trouvé grâce à mon réseau d’anciens diplomés. Je suis ensuite revenu en Bourgogne et suis actuellement responsable commercial export au Domaine Roux à St Aubin depuis plus d’un an.
Quels conseil donneriez vous aux futurs diplômes du CIVS ?
Je pense que le plus important est d’entretenir le réseau construit via le Mastère (qui a maintenant 31 ans). Dans le monde du vin, on retrouve des gens du Mastère partout, et c’est un réel atout pour s’ ouvrir des portes dans ce secteur.
Pour finir, pourriez vous nous donner un moment marquant de votre expérience au CIVS ? (Anecdote, intervenant …?)
Les interventions de professionnels passionnants et les voyages avec des visites d’exceptions comme Château Lafite, Château Margaux et autres notamment pendant le voyage à Bordeaux
Promotion 2002
Responsable Marketing Stratégique – Maison Villevert
Pouvez-vous nous présenter rapidement quel a été votre parcours avant le CIVS ? Aviez-vous déjà un projet professionnel défini ?
J’ai un profil commercial et marketing. J’ai effectué un DUT – Techniques de Commercialisation avec l’objectif de faire une admission parallèle en école supérieur de commerce. C’est au cours de ma dernière année d’étude aux États-Unis que j’ai découvert ma vocation. J’ai effectué mon stage de fin d’étude dans la Sonoma Valley, dans une société de courtage de fûts en chêne français. J’avais en charge la partie logistique mais j’effectuais également des dégustations de vin sur fût dans les plus grands domaines de la Napa et de la Sonoma. J’en ai conclu que j’avais besoin d’un bagage supplémentaire, si je voulais continuer dans cette voie-là. J’ai donc atterri au CIVS avec pour but d’étoffer la partie technique et d’être plus crédible sur le plan technique.
Vous avez effectué le CIVS en 2002, qu’est ce que le CIVS vous a apporté pour mener à bien votre projet pro ?
J’avais pour ambition de travailler dans la filière vin. Avec mon bagage commercial et marketing, il m’a paru évident de continuer sur ce type de métier. Le CIVS m’a apporté de la crédibilité et une précieuse connaissance sur la partie technique, tout en enrichissant mes compétences commerciales et marketing. Je suis avant tout amoureux du produit et quand nous devons discuter avec les œnologues, les responsables des achats, les commerciaux, nous avons affaire à des gens très pointus sur la partie technique. Avoir un bagage marketing, m’a permis de comprendre et d’interpréter les processus techniques en arguments marketing, c’est une très grande force.
Pouvez-vous nous parler de votre expérience à la suite du CIVS ? Quel poste occupez-vous actuellement et quels ont été les étapes clés de votre réussite ?
Ce sont les opportunités qui ont construites la suite de mon parcours professionnel. J’ai commencé par un stage d’assistant marketing pour une marque de négoce bordelaise, qui s’est vite transformé en CDI. Ils ont ouvert un poste de chef de produits spécifiquement pour moi. C’était un poste transversal de l’achat des vins, jusqu’à la commercialisation, en passant par la construction de la stratégie marketing. Je suis ensuite parti dans le sud chez Gérard Bertrand, j’ai occupé des fonctions de Trade Marketing, c’était une expérience très enrichissante qui m’a conduite à creuser plus spécifiquement l’univers des marchés de marque. J’ai ensuite été responsable marketing pour la marque Camus à Cognac, j’étais en charge des développements et des innovations produits. Je suis aujourd’hui responsable marketing de la Maison Villevert. Nous avons une large gamme de spiritueux avec des marchés et des problématiques très spécifiques.
Quels conseil donneriez vous aux futurs diplômés du CIVS ?
Premièrement, Il ne faut pas oublier les spiritueux. Je trouve que le CIVS est sous-représenté dans l’univers des spiritueux et des bières, et c’est dommage. Ce sont des secteurs avec beaucoup d’opportunités. Le deuxième conseil serait qu’il ne faut pas oublier le réseau du CIVS. Quasiment tous les anciens de la formation travaillent dans le secteur des vins et spiritueux. Nous avons une chance qu’il faut apprendre à exploiter. Le CIVS est une aventure avant tout humaine. Nous gardons des liens très forts avec les membres de notre promotion.
CIVS PART TIME – PROMOTION 2018
Directeur commercial et administratif au Domaine des Bosquets (Gigondas)
Pourrais-tu te présenter rapidement, quel a été ton parcours avant le Mastère Spécialisé du Commerce International des Vins & Spiritueux (MS CIVS) ? Avais-tu déjà un projet professionnel défini ?
Je vais avoir 50 ans cette année. Après avoir fait mes études et mon service militaire, j’ai travaillé dans les assurances en Lorraine, puis à Paris pendant 20 années chez de grands courtiers internationaux, en tant que commercial, commercial grands comptes et manager commercial. Je remercie tous mes collègues et Directeurs de cette époque avec lesquels j’ai eu beaucoup de plaisir à travailler. A mes 45 ans, j’ai eu la possibilité de négocier une rupture conventionnelle me permettant de démarrer un nouveau projet de vie. Afin de vérifier mes idées de départ (faire du commerce à l’export dans le secteur du vin), j’ai suivi un coaching professionnel. Une fois ce dernier terminé, tout était très clair pour moi : démarrer ma reconversion professionnelle, reprendre des études et trouver un domaine pour travailler à l’export.
Tu as effectué le MS CIVS en 2016/2018, peux-tu nous parler de cette expérience ? Qu’est-ce que le MS CIVS t’a apporté pour mener à bien ton projet professionnel ?
Le choix du MS CIVS était évident dans le cadre de mon projet de reconversion professionnelle. Je l’ai choisi premièrement parce que je voulais faire du commerce international, également pour son classement (n°1 mondial pour mémoire). Ensuite les critères suivants ont été également importants : le fait qu’il existe en format part time (je souhaitais être avec des gens qui avaient déjà une expérience professionnelle et qui venaient de milieux différents), le fait que j’adore les vins de Bourgogne et que j’ai l’honneur d’être Chevalier du Tastevin. Je tiens d’ailleurs à remercier chaleureusement Jérôme Gallo de m’avoir accepté au sein de ce cursus.
Pour info, si je devais le refaire, je le referais de suite ! 18 mois d’études, 18 mois fantastiques avec les copains (quelle magnifique aventure humaine !!!!!).
En parallèle du MS CIVS j’ai travaillé pour Château Maïme, domaine en Côtes de Provence où j’ai construit la stratégie export et démarré la prospection. J’ai également suivi les cours du WSET niveau 3 et participé à de nombreuses dégustations professionnelles.
Pourrais-tu nous parler de ton expérience à la suite du MS CIVS ? Quel poste occupes-tu actuellement et quels ont été les étapes clés de ta réussite ?
Comme je te le disais je souhaitais faire du commerce à l’export. J’ai envoyé un nombre très important de candidatures, pour 85% de non réponse ou de réponses négatives. Lors d’une de mes dernières candidatures, la première étape était d’avoir un entretien avec un chasseur de têtes (Loïc Perrin, dirigeant du cabinet de conseil « Terroir, Conseil & Performance »). A la suite de cet entretien, Loïc m’avait positionné pour une offre de commercial export dans un domaine en Costières de Nîmes. Malheureusement j’ai fini 2ème.
A la suite de cette opportunité, nous avons débriefé et Loïc m’a indiqué que peut-être il pourrait y avoir une nouvelle opportunité pour moi dans un top domaine à Gigondas. Plusieurs mois après, Loïc a repris contact avec moi, il m’a fait rencontrer Julien Bréchet, le dirigeant du Domaine des Bosquets. Je crois pouvoir dire (humblement) que nous avons eu un très bon entretien Julien et moi, et surtout un très bon feeling. J’ai rejoint le Domaine des Bosquets le 18 janvier 2021 et j’en suis ravi. J’occupe un poste de directeur commercial et administratif, j’ai en supervision le commerce, les achats, la partie sociale, comptable et le management de l’équipe. Je remercie de nouveau Julien de sa grande confiance.
Quels conseils donnerais-tu aux futurs diplômés du MS CIVS ? Comment vois-tu la filière évoluer ?
Bien entendu il est important d’analyser les choses de manière différentes et séparées. C’est à dire si tu es déjà dans l’industrie des Vins et Spiritueux (V&S) ou non, si tu as entre 25 et 40 ans ou si tu as entre 40 et 55 ans. Si tu es jeune et déjà dans l’industrie des V&S, le MS CIVS apporte des connaissances supplémentaires et du réseau, tu auras un retour rapide sur investissement. Si tu es jeune et pas dans l’industrie des V&S, le fait que tu sois jeune va te permettre de trouver un job sans trop de problèmes, le MS CIVS devient très important pour toi.
Si tu es, comme moi, pas dans l’industrie des V&S et au-delà de 45 ans, c’est très difficile de trouver un job car c’est un milieu fermé. Faire le MS CIVS est une nécessité. Le retour que je peux te faire également est que tous les cours que j’ai suivis m’aident au quotidien, que ce soit dans la compréhension de la filière ou pour des tâches précises à faire.
Concernant la filière on voit clairement qu’elle se spécialise sur tous les postes d’un domaine / négoce et devient de plus en plus exigeante.
Pour finir, pourrais-tu nous donner un moment marquant de votre expérience au CIVS ?
Frédéric Mercier pour son cours d’entrepreneuriat et sa pertinence.
Et sinon j’ai plein d’anecdotes mais elles ne sont pas toutes racontables.
Promotion 2018
Directrice Technique Qualité, R&D, et Nouveaux projets chez Chateau Ducru Beaucaillou
Pouvez-vous nous présenter rapidement quel a été votre parcours avant le CIVS ? Aviez-vous déjà un projet professionnel défini ?
Je suis initialement diplômée ingénieure agronome et œnologue. A la suite de ma formation j’ai occupé un poste de direction technique sur plusieurs propriétés de l’appellation Pommerol. J’étais en charge de la conduite du vignoble. Je travaillais donc déjà dans le milieu du vin avant d’intégrer le CIVS. J’ai eu envie d’élargir mes compétences transverses autour du vin, afin de pouvoir évoluer dans la filière. Notamment sur le marketing, la stratégie et l’économie. J’étais également intéressée par les spiritueux. Je souhaitais vraiment élargir mes horizons, avec pour ambition d’occuper un poste de direction générale. Le CIVS a été pour moi l’opportunité de sortir de la région de Bordeaux et découvrir la Bourgogne.
Vous avez effectué le CIVS en 2018, qu’est ce que le CIVS vous a apporté pour mener à bien votre projet pro ?
J’avais déjà un bon bagage technique. Le CIVS m’a permis de développer des compétences marketing et de comprendre les attentes des consommateurs. En école d’ingénieur on s’oriente sur la production et non pas la commercialisation. Aujourd’hui nous devons produire le vin en fonction de là où il est vendu. Cela m’a permis d’orienter des choix techniques différents de ce que je faisais avant.
Pouvez-vous nous parler de votre expérience à la suite du CIVS ? Quel poste occupez-vous actuellement et quels ont été les étapes clés de votre réussite ?
J’ai fait le CIVS pour évoluer. Et cette formation m’a permis d’accéder au poste que j’occupe actuellement sur un deuxième Cru Classé à Bordeaux. C’est une réelle plus-value face à des profils uniquement technique. J’ai la chance de pouvoir travailler en collaboration très étroite avec le responsable technique, les équipes marketing, les équipes commerciales, et même le propriétaire pour la stratégie. Je suis à l’intersection avec toutes les branches de l’entreprise.
Quels conseil donneriez vous aux futurs diplômés du CIVS ?
Il faut préserver et être ambitieux. Et surtout, boire avec modération.
Pour finir, pourriez vous nous donner un moment marquant de votre expérience au CIVS ?
L’ouverture que propose le CIVS sur les spiritueux est indéniablement quelque chose de très positif. C’est un milieu très passionnant et dynamique. Il permet de laisser libre cours à la créativité.
CIVS PART TIME – Promotion 2019
Cofondateur de La Fermenterÿ
Pouvez-vous nous présenter rapidement quel a été votre parcours avant le CIVS ? Aviez-vous déjà un projet professionnel défini ?
Je suis issu du monde juridique, j’ai commencé dans le notariat après des études de droit. Je me suis rendu compte que ce n’est pas ce que je voulais faire. J’ai donc commencé une expérience de caviste, chose que j’ai faite pendant six ans et c’était très intéressant : je n’avais pas d’expérience commerciale et j’ai pu en acquérir une. Avec mes diplômes de droit et cette expérience, j’ai voulu aller plus loin et j’ai donc décidé de faire le CIVS. Je n’avais pas de projet défini : je voulais continuer dans le secteur des vins et spiritueux avec une qualité d’enseignement, de compétences et atteindre des postes à plus forte valeur ajoutée notamment dans le marketing. Le projet d’entreprise que je mène maintenant s’est dessiné au fil de l’eau, surtout grâce à ma thèse : « Le marketing, le terroir et les spiritueux ». J’ai scanné le marché des alcools distillés : il se trouve que le marché des boissons fermentées représente un potentiel et le kombucha ! Aujourd’hui, avec mon associé nous avons une brasserie qui fait la boisson « Beÿcha ».
Qu’est-ce que le CIVS vous a apporté pour mener à bien votre projet professionnel ?
Cela a bien complété mon expérience commerciale de caviste entre vins spiritueux et bières. Outre le côté théorique c’est aussi beaucoup de rencontres avec la population d’étudiants, d’enseignants et grâce aux déplacements sur le terrain c’est aussi la rencontre d’acteurs multi-secteurs : grande distribution, caviste, producteur, c’est très riche d’enseignement ! Cela permet de nourrir avec force le projet actuel.
Pouvez-vous nous parler de votre expérience à la suite du CIVS ? Quel poste occupez-vous actuellement et quels ont été les étapes clés de votre réussite ?
Suite au CIVS, je suis resté en poste en tant que caviste. Après la formation, j’ai postulé sur des postes tels que « Directeur technique de brasserie ». Au fur et à mesure je me suis rendu compte que j’avais soif d’indépendance, de création. A la suite de tous ces entretiens, je me suis rendu compte que je voulais créer mon entreprise, j’avais mon sujet donc je n’avais plus qu’à me lancer !
Quels conseils donneriez-vous aux futurs diplômés du CIVS ? Comment voyez-vous la filière évoluer ?
Les conseils doivent être toujours teintés d’humilité : profiter de ses camarades de classe qui deviennent des amis, les enseignants qui délivrent des choses riches, les expériences extérieures à l’école. Toute cette expérience est à digérer. Pour ma part comme j’étais en part time je travaillais et étudiais en même temps. Pour la suite, c’est un peu au feeling en fonction du projet. Cette formation est un très bel outil et il faut l’utiliser en tant que tel !
Je pense que le type de boisson que je propose mérite une place dans la formation. C’est une manne qui représente des milliards. On voit les spiritueux sans alcool, les bières sans alcool grignoter des parts de marché. Ces produits atypiques tels que le kombucha, le kéfir représentent de la création d’emploi pour l’avenir : c’est un terrain non seulement ludique mais à fort potentiel commercial.
Pour finir, pourriez-vous nous donner un moment marquant de votre expérience au CIVS ?
Le premier jour, je suis arrivé à l’école, j’étais dans les premiers. On était quatre, l’un d’entre eux s’est mis dans une autre pièce alors que j’étais assis devant dans la classe. Il s’est rendu compte qu’il s’est trompé et est ressorti (rires). Les élèves sont arrivés, se sont présentés. Frédéric est venu, c’était la première semaine d’entreprenariat. Dès la présentation, il y a eu un échange : j’ai su que j’étais au bon endroit, que j’avais fait le bon choix et que ça allait m’apporter quelque chose d’être là. C’était un réel plaisir, un épanouissement, que du positif !